13 avril 2022
Arles
©paolapigani
Et si c'était un homme dans ce brouillard de poussière
Et si c'était un homme qui scie et meule un seuil de pierre
Et si c'était un homme qui voit unr passante ralentir son pas et
accepte qu' on le photographie "à condition que ce ne soit pas pour la Provence"
Cet homme bien vivant je voudrais lui dire Tu
Je voudrais le remercier de réveiller l'ombre de la rue par son travail et son rire sonores.
Je ne saurai rien de sa fatigue , de ses yeux cachés
ni de ce qui , le soir apaise ses mains d'avoir tant trembler .
13:00 Écrit par Paola Pigani dans Poésie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
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