26 mars 2013
Sur les traces de Luc Bérimont
©paolapigani
Quelques kilomètres avant Angoulême
De la vitre du train, on aperçoit Magnac sur Touvre
Petits mouchoirs d'herbes trempés dans l'hiver...
Je n'ai plus le goût de chercher
Si ton absence m'est écharde
Ni si je reproche à mes mots
de dire moins qu'ils n'ont en eux.
Aimer est un cercle de craie
hors duquel tout devient froidure.
08:09 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
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