Guillevic 2016linoines la renouée aux oiseaux UA-98678848-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14 juillet 2016

14 juillet

 

 

 

 

C'était quand les feux d'artifice étaient finis, quand la musique militaire s'était tue, avait terminé de jouer ses marches guerrières que l'on percevait le silence des abîmes.

 

Jean Follain

22:10 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : follain

Les commentaires sont fermés.