02 octobre 2012
Winfried Veit
(...) Me consolent aujourd'hui ta voix qui ne crie pas, et ta clarté d'entaille, qui sont venues à moi.
Tu ne fais pas ce qu'ils veulent. Tu ne sais pas ce qu'ils veulent.
Tu peins, tu vis, tu sculptes à contretemps, à rebours des violences, et tu résistes.
Tu affames la mort et elle n'a plus de charme (...)
Marie Thérèse Peyrin Un jardin de visage Le Réalgar Editions.2012.
17:46 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : winfried veit, marie thérèse peyrin, le réalgar