26 mai 2021
Prochaine rencontre dans les Cevennes
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Joli festival à saint Ambroix , non loin D'Alés
En compagnie d'Hélène Dassavray, Estelle Fenzy et Antoine Gallardo
qui tiendra bonne table avec tous ses ouvrages édités par La Boucherie Littéraire.
J'aurais le plaisir de lire des extraits de La renouée aux oiseaux et de la chaise de Van Gogh.
19:34 Écrit par Paola Pigani dans Des livres, La chaise de Van Gogh, La renouée aux oiseaux, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la boucherie litteraire éditions, la chaise de van gogh, la renouée aux oiseaux, estelle fenzy, hélène dassavray, salon vivre livre, saint ambroix, cevennes
09 mars 2021
La chaise de Van gogh
Un grand Merci à Estelle Fenzy pour sa note de lecture dans Recours au poème
https://www.recoursaupoeme.fr/la-minute-lecture-paola-pig...
©paolapigani
07:22 Écrit par Paola Pigani dans La chaise de Van Gogh, Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : la chaise de van gogh, la boucherie littéraire, recours au poeme, estelle fenzy
05 mars 2021
Histoire d'une chaise vide
Joie de lire cette belle recension de mon dernier recueil La Chaise de Van Gogh dans le Monde des livres du weekend .
Un grand Merci à Xavier Houssin.
18:17 Écrit par Paola Pigani dans La chaise de Van Gogh | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la chaise de van gogh, la boucherie littéraire, xavier houssin, estelle fenzy, recour au poème
08 mai 2018
Mère
Sous sa couverture rouge cerise , entre des pages d’un jaune profond et lumineux,découvrez Mère d'Estelle Fenzy, un très beau texte à la fois limpide et coupant comme la glace qui dit l'incandescence et l'effroi de la maternité. Une poésie du vif, de l’ardent qui va au-delà de la chair de la mère pour fouiller dans les tréfonds de l’amour, toutes les menaces, les évidences tendres, le plein de l'être et de l'avoir mêlé à l'idée de la peur, de la perte.
Pas de joliesses dans la phrase. Tout est pesé, clarifié par la force de la parole poétique qui ne s’effraie pas d’un cœur de mère.
Mon cœur bat à rebours.
A tant les caresser les lignes de mes mains se sont creusées.
Les ailes, les plumes, le chant tendre encore. Plus loin pour les inflexions les plus douces.
Etre toute leur vie. Pas pour toujours.
Je suis mère. Je tremble.
Devant les rues à traverse, les marches d’escalier, les bouts de verre cassés. Là où ça coupe, pique, brûle.
Lorsqu’un danger cogne sans bruit sur le doux mur du ventre, moi seule je l’entends.
Il ne faut pas me confondre.
Ni moi, ni ma chair inquiète. Mes frémissements ne sont pas ceux de l’autre amour. Seul le péril me vacille.
Je suis une femme qui tremble.
Je suis mère.
15:04 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : estelle fenzy, la boucherie littéraire