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31 juillet 2017

Qui saura?

 

Qui saura pourquoi  Mike Brant traîne son micro dans mon prochain roman?

18:09 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0)

30 juillet 2017

Mon oeil

DSC00118.jpg©paolapigani

19:42 Écrit par Paola Pigani dans Mon oeil, Poésie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)

29 juillet 2017

Solitude

Il fallait bien mener cette conquête de la solitude , il fallait en maintenir les avantages. Quelquefois je déracinais par esprit les lointains poteaux électriques, j’effaçais l'avion qui passait. Alors j'étais seul  avec la faim, le froid, la nuit. J'aime mieux être mordu par une bête que par des bavardages, je suis beaucoup trop sensible à ces derniers. 

Luc Dietrich   Sapin Editions éoliennnes

 

luc dietrich,editions eoliennes©paolapigani

20:07 Écrit par Paola Pigani dans Musique, Poésie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : luc dietrich, editions eoliennes

28 juillet 2017

Portes de l'enfance

©paolapigani

 

 

 

 

 

 

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  • J'apprends l'effort, le puits, la colline et le thym.
  • Le vent et les bêtes sauvages coulent devant ma porte. Le feu de bois exige un très long souffle humain.

Luc Bérimont

 

 

 

20:45 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cellefrouin, les casternauds, luc bérimont

25 juillet 2017

Inséparable

 

 

 

 

 

05:00 Écrit par Paola Pigani dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arthur h

21 juillet 2017

Nouvelle adresse

Nouvele adresse.jpg©paolapigani

18:49 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0)

18 juillet 2017

Le sang des autres

 

 

 

 

Nous nous penchons un peu sur le vide qui nous sépare. Il fonce sur moi, et moi je baisse la tête comme pour qu’il s’y troue. Nous nous soudons encore une fois. Je lève ma lame.

J’attrape un tel coup dans le flanc que la haine me reprend et d’une détente je lui entaille le poignet.

Son sang jaillit. Ma tête tourne et je tombe.

Ils sont partis.

Je n’ai d’autre envie que de me coucher.

Je me traine jusqu’à mon wagon. Je m’étends sur la banquette.

Ma chaussure est mouillée de sang. Je me sens mouillé du côté douloureux.

Je relève la chemise déchirée et trouve la blessure : c’est une fente rouge avec des bords blanchâtres. Le sang coule dans le creux de la hanche, mes mains ne peuvent plus le retenir. Il est beau, il est précieux, et il s’en va.

Et je m’émerveille que de moi qui ai mangé tant de vase, bu tant de pluie, mâché tant de nourritures grises, sorte une substance si rouge.

J’éprouve un contentement grave, parce que quelque chose va commencer pour moi, parce que maintenant je vais vivre ou mourir, et que ce sera également nouveau.

Luc Dietrich  L’apprentissage de la ville

18:45 Écrit par Paola Pigani dans Des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : luc dietrich, editions le temps qu'il fait

17 juillet 2017

liquide

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19:41 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)

14 juillet 2017

14 juillet

07:40 Écrit par Paola Pigani dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : feu chatterton

13 juillet 2017

Sans autre appui

 

 

Qu'êtes vous devenus

Pour moi qui suis perdu

Vivant,sans autre appui

que les sables nocturnes?

 

Jules Supervielle

 

 

 

 

la plage des ancres.jpg©paolapigani

22:30 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : supervielle