Guillevic 2016linoines la renouée aux oiseaux UA-98678848-1

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22 décembre 2014

Naufragati

06:34 Écrit par Paola Pigani dans Musique, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vinicio capossela

21 décembre 2014

Grange Blanche

 

 

 

Depuis 1936, d'autres murs ont poussé à l'intérieur, à l'extérieur, que je longe parfois

Mélancolique Grange blanche qui respire côté rue et expire côté hôpital

22:11 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hôpital edouard herriot

20 décembre 2014

Il y a

 

 

 

Il y a des monstres qui sont très bons

Qui s'assoient contre vous les yeux clos de tendresse

Eugène Guillevic

 

 

21:50 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

09 décembre 2014

Peau d'oeil

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21:53 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0)

06 décembre 2014

Aujourd'hui le ciel

 

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21:48 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (1)

05 décembre 2014

sur la piste de Mirko 8

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20:15 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)

03 décembre 2014

Soutenez les poètes!

 

 

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21:47 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le pédalo ivre

27 novembre 2014

Il peut pleuvoir le monde

 

 

 

 

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Il peut pleuvoir le monde

dévider son encrier

ses laines sales

serrer trop fort

le cœur des enfants

la morsure des saisons n'est rien

je perds mes dents de lait

le chemin

vers la maison de pain d'épices

Me reste la pluie 

me reste le vent

un chien qui lèche

mes jambes

Je grandis les mains en l'air

Paola Pigani

 

22:48 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

26 novembre 2014

Chaque dimanche

 

 

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Il s’effondre sur le siège

d'une salle d'attente

ce n'est pas encore le froid de la terre

juste le plexis glass contre son dos

 

ça pousse dans tous les sens

ce n'est pas encore la mauvaise herbe

autour de la maison

juste la barbe de midi sur la peau des joues

 

Chaque dimanche il secoue sa peau au soleil

les jours de pluie

il ferme les yeux et dort seize heures

le ciel partage son temps 

 

Entre vivre et compter pour rien

il ne choisit pas

 

Paola Pigani

18:16 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

23 novembre 2014

Depuis ma capitale de soie grise

12:54 Écrit par Paola Pigani dans Musique, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : léonard cohen