26 novembre 2013
Guillevic toujours
©paolapigani
Prenons acte de l'horizon,
Faisons-le moins cruel
Qu'il n'est le plus souvent.
Guillevic
15:22 Écrit par Paola Pigani dans Poésie, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
24 novembre 2013
Le bleu s'est levé
Le bleu s’est levé dans le coin de la chambre
Personne ne sait où elle ira chercher la lumière
qui a manqué à son réveil.
08:17 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : truphémus, .
21 novembre 2013
D'Alexienne à Alba
Alexienne qui m'a suivie entre les lignes de mon roman N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures a aujourd'hui 88 ans!
Je lui souhaite de vivre avec quiétude toute la clarté de ce jour .
07:27 Écrit par Paola Pigani dans Des livres, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alexienne winterstein, n'entre pas dans mon âme avec tes chaussures, paola pigani
18 novembre 2013
Mon chantier silencieux
Mon second roman est en cours
L'écriture ne fait pas de bruit...
08:08 Écrit par Paola Pigani dans Des livres | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : coutyentrer des mots clefs
10 novembre 2013
Rencontre en librairie
Vendrdedi 15 novembre
Rencontre signature à la Librairie du cours
Vendredi 15 novembre
Cours du Docteur Long
69003 Lyon
A partir de 17h
Echanges discussion de 19h30 à 20h30
08:59 Écrit par Paola Pigani dans Agenda | Lien permanent | Commentaires (0)
06 novembre 2013
Lyon, perle de soie grise.Stanislas Rodanski
©paolapigani
08:47 Écrit par Paola Pigani dans Lyon perle de soie grise, Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon
04 novembre 2013
Auguri figlio mio
08:05 Écrit par Paola Pigani dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
03 novembre 2013
novembre
©paolapigani
08:01 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon bellecour
01 novembre 2013
Alouette alouette
08:55 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
31 octobre 2013
Il y a des poèmes
Il y a des poèmes qui ne se nourrissent ni de roses ni d'oiseaux, qui ne boivent pas la rosée des fleurs, qui ne se penchent pas sur la source, qui n'aiment pas les jeunes filles à l'instant du bourgeon.
Ils ont un visage dur et une odeur d'hiver qui dédaignerait la neige.
Ils parlent de chevaux, de labours, d'humbles herbes, d'enfants sans jouets.
L'amour y semble caché mais apparait soudain aux trous de l'étoffe avec son insolent éclat de toujours.
Ils sont avides comme des rustres.Ils ont de grosses mains.Leur rire est triste.Ils grelottent.Ils ont faim.Ils donnent à manger.Le sang coule d'eux, frais, rouge et vite noir, luisant comme un long regard échappé.
Les poèmes qui ne se nourrissent si de roses ni d'oiseaux ont une santé à briser le monde.
Il leur arrive de montrer vraiment l'intérieur du corps qui est rouge et l'intérieur de l'âme qui est noir et vide.
Alain Borne
08:33 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alain borne