18 février 2014
Les choses simples
07:16 Écrit par Paola Pigani dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : capossela
15 février 2014
Prochaine rencontre
Fête du livre de Bron dimanche 16 février
Léonora Miano / Paola Pigani
êtres sans destins
Dans La saison de l’ombre, Leonora Miano évoque les conséquences de la
traite négrière en donnant la parole à ceux qui l’ont subie dans leur chair et
qui ont été contraints de vivre dans la perte. Paola Pigani met en scène, dans
N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures, l’internement des Tsiganes
pendant la Seconde Guerre mondiale en faisant entendre la voix de ceux qui en
furent victimes. Deux drames de l’histoire qui ont contraint les hommes à s’arracher
à leur destinée et à vivre la douleur de la discrimination, du déracinement ou de
la déportation.
SALLE DES PARIEURS
LéONORA MIANO née à Douala au Cameroun,
s’installe en France en 1991. Auteur de romans
dont Contours du jour qui vient (prix Goncourt
des lycéens 2006, Plon) et La saison de l’ombre
(prix Femina 2013, Grasset).
15:05 Écrit par Paola Pigani dans Des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : léonora miano, paola pigani, bron
14 février 2014
Fête des amoureux
06:49 Écrit par Paola Pigani dans Des films | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lagostina
10 février 2014
Patience
©paolapigani
07:48 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (0)
08 février 2014
La vie augmente
09:39 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : guillevic
06 février 2014
Journaux d'hiver
©paolapigani
07:39 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
04 février 2014
Corpo celeste
07:55 Écrit par Paola Pigani dans Des films | Lien permanent | Commentaires (0)
02 février 2014
Chanter dans la douleur
Prendre le temps. Apercevoir une faille dans le mur de l’angoisse.
Découvrir une fente habitée par le lierre. Peindre le mot horizon sur une feuille. Épeler lettre à lettre sans comprendre. Rouler la langue dans la salive des images. Chuchoter leurs noms. Attendre avant de baragouiner, avant de chanter, avant de partir. Ou encore. Apercevoir une fêlure dans l’obstacle. Définir la nature de cet obstacle pour ne plus souffrir. Ne plus joindre les lèvres de la blessure, ne plus cacher les plaies. Chanter dans la douleur pour surseoir à la mort.
Verrouiller la montée des larmes.
Époustoufler la grande faucheuse, l’emberlificoter. Ne jamais croire à tort et travers les liens avec le vif.
Pouvoir avoir la main plus offrante que la tueuse, crayon entre les doigts à l’orée du poème. Créer l’aurore et la venue du jour.
Michaël Glück
Cette chose-là, ma mère… Editions Jacques Brémond
07:17 Écrit par Paola Pigani dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mickaël glück
30 janvier 2014
Traverser la France
14:39 Écrit par Paola Pigani dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
29 janvier 2014
Rives d'hiver
©paolapigani
07:00 Écrit par Paola Pigani dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)