Guillevic 2016linoines la renouée aux oiseaux UA-98678848-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

15 octobre 2021

Prochaine rencontre à Besançon

Dans le cadre des rencontres des Jeudis de la poésie

Université Ouverte et partenaires

animées par Elodie Bouygues & Jacques Moulin

Soirée poésie -lectures  

21 OCTOBRE de 18h à 19h30
 Faculté des Lettres (amphi Cloché)

J'aurai plaisir d'évoquer mes derniers recueils :

Le cœur des mortels  Editions La passe du vent , 2019

La renouée aux oiseaux Editions La Boucherie Littéraire, 2019

La Chaise de Van Gogh Editions  La Boucherie Littéraire, 2021




 

 

 

 

21 juillet 2021

La Renouée aux oiseaux dans la revue Dissonances

article la renouée aux oiseaux Dissonances.jpeg

02 juin 2021

Prochaine rencontre à Dijon

 

 

illustration-clameur(s)-avec-les-auteurs-jean-philippe-pierron-et-paola-pigani_1-1622547248.jpg

 

 

17 h : « Eux c’est nous» 

Simple vivant parmi tous les vivants, chacun de nous traverse la diversité du monde vivant et pourrait (devrait ?) écrire sa propre histoire en tant qu’ « écobiographie ». C’est ce que propose le philosophe Jean-Philippe Pierron dans son essai: "Je est un nous - Enquête philosophique sur nos interdépendances avec le vivant" (Actes Sud). De cette attention portée au territoire et à ses « autres qu’humains » Paola Pigani fait la chronique dans sa poésie ( " La renouée aux oiseaux", éd. La Boucherie littéraire ) comme dans son dernier roman en hommage au monde paysan ("Des orties et des hommes", éd. Liana Lévi).
Modération : Marie-Madeleine Rigopoulos



Ils seront aussi en dédicace samedi 5 juin à 15h à la librairie Gibert Joseph.

26 mai 2021

Prochaine rencontre dans les Cevennes

 

 

 

Capture-d’écran-2021-05-15-à-14.12.43-1212x640.png

 

http://ekladata.com/Q8sPlt-MsBngEf_0oU_a2V3rwzE.jpg

 

Joli festival à saint Ambroix , non loin D'Alés

En compagnie d'Hélène Dassavray, Estelle Fenzy et  Antoine Gallardo

qui tiendra bonne table avec tous ses ouvrages édités par La Boucherie Littéraire.

J'aurais le plaisir de lire des extraits de La renouée aux oiseaux et de la chaise de Van Gogh.

 

 

 

28 septembre 2020

Prochaine rencontre à Villefranche sur Saone

 

 

Balade littéraire à la médiathèque de Villefranche sur Saône.

Samedi 3 octobre 

 

 

En partenariat avec la Vague des Livres et la Librairie des Marais.

 

renseignements et inscription grâce à ce lien

http://www.mediatheque-villefranche.com/agenda2/124-rencontre

05 juillet 2020

Deux écrivains sur la paille

 

 

 

 

Quand un libraire  bien intentionné met deux écrivains sur la paille...

2020_07_04_pigani_et_el_amraoui_(10)[1].jpg

 

2020_07_04_paola_pigani_(2)[1].jpg

2020_07_04_pigani_et_el_amraoui_(9)[1].jpg

©carlodeboisset

 

librairie des marais,la vague des livres,mohammed el amraoui,des orties et des hommes,la renouée aux oiseaux

librairie des marais,la vague des livres,mohammed el amraoui,des orties et des hommes,la renouée aux oiseaux

librairie des marais,la vague des livres,mohammed el amraoui,des orties et des hommes,la renouée aux oiseaux

librairie des marais,la vague des livres,mohammed el amraoui,des orties et des hommes,la renouée aux oiseaux

©laurentflechier

 

 

...cela donne de belles heures partagées au milieu des herbes folles et d'un public plus que présent.

 

Un grand merci à l'association La vague des livres, La librairie des marais et Bertrand Lamure .

IMG_20200703_190334_651.jpg

01 juillet 2020

Prochaine rencontre à Villefranche sur Saône

 

le coeur des mortels,indovina,des orties et des hommes,la passe du vent,paola pigani,mohammed el amraoui,librairie des marais,la vague des livres,le hangar 717,la renouée aux oiseaux,éditions la boucherie littéraire,éditions liana levi,villefranche sur saone

 


                                       

                               L'association La Vague des livres, partenaire de ce week-end invite

   Mohammed El Amraoui  et Paola Pigani

 

Samedi 4 juillet



16 h: Sieste littéraire en compagnie de Paola Pigani

18h : Lecture croisée avec Paola Pigani et Mohammed El Amraoui


Ces deux auteurs dédicaceront au cours de l'après-midi leurs livres sur le stand de la Librairie des Marais.

Bienvenue à tous

 

Au Hangar 717 (717 rue de Thizy, Gleizé-Villefranche) dans le cadre de l'exposition "Autour du livre".

La librairie des Marais sera présente samedi 4 et dimanche 5 juillet 
Une sélection de livres sera présentée à cette occasion.

 

 

la renouée aux oiseaux,le coeur des mortels,indovina,des orties et des hommes,éditions la bouchrerie littéraire,la passe du vent,liana levi,paola pigani,mohammed el amraoui,librairie des marais,la vague des livres,le hangar 717

la renouée aux oiseaux,le coeur des mortels,indovina,des orties et des hommes,éditions la bouchrerie littéraire,la passe du vent,liana levi,paola pigani,mohammed el amraoui,librairie des marais,la vague des livres,le hangar 717la renouée aux oiseaux,le coeur des mortels,indovina,des orties et des hommes,éditions la bouchrerie littéraire,la passe du vent,liana levi,paola pigani,mohammed el amraoui,librairie des marais,la vague des livres,le hangar 717la renouée aux oiseaux,le coeur des mortels,indovina,des orties et des hommes,éditions la bouchrerie littéraire,la passe du vent,liana levi,paola pigani,mohammed el amraoui,librairie des marais,la vague des livres,le hangar 717

11 juin 2020

La renouée aux oiseaux dans la revue Europe

couv-M.-Dib-R-scaled.jpg

 

 

 

 

            Quatrième recueil de Paola Pigani, La renouée aux oiseaux évoque la tragédie intime de la perte d’un enfant mort-né. L’épreuve bascule dans un asile où la locutrice a été momentanément enfermée, suite au traumatisme. Le réalisme merveilleux et la réalité brutale se conjuguent dans ce recueil bouleversant, de la blessure à jamais ouverte dans le « ventre de pierre » au « seul oiseau […] entré par la blessure ». Le ton est juste, sensible et fort du premier vers jusqu’à l’ultime poème du livre.

            Un sentiment de culpabilité agite la jeune mère éperdue qui vit sa souffrance en osmose avec tous les éléments qu’elle touche : « les mains / qui ont tenu l’enfant » : « ces mains de honte / je les enfonce dans la blessure du bois ». Toutes les sensations sont transfigurées en épreuves insoutenables : « il neige du sel sur ma langue / quand je crie la nuit ». Le rapport aux autres et à la nature passe par la métaphore de l’arbre blessé : « je cherche dans les autres / des yeux de sève // […] c’est l’arbre qui garde mes eaux // ses entailles sont les miennes ». Le corps est encore perçu comme enlisé et saturé de ruines : « La ville est dans mon sang / avec ses éboulis / ses canaux qui débordent ».

            Les images désignant ou évoquant l’enfant sont associées à l’obscurité, « le petit corps d’os et de ténèbres » s’est perdu dans le néant absolu : « Où es-tu / mon enfant de bois mort ». Mais pour refuser l’évidence, l’instinct maternel, l’infinie tendresse survivent à la détresse. Comme si la mère elle-même disparaissait dans le deuil : « laisser l’enfant dormir / […] le poser sur un limon très doux / qu’il tète en paix / mon absence ». L’hiver lui-même s’humanise et s’adoucit pour caresser l’enfant : « sa première neige / c’est le baiser de l’eau et de l’air ». Mais le corps nourricier est devenu stérile, figé dans le désespoir : « je garde une pierre dans chaque sein ». Le rapport au réel a perdu toute mesure : « Mon arbre a l’épaisseur du monde ».

            L’atmosphère de l’asile est délétère : « les voleuses de jardin » qui ont faim sont sous haute surveillance : « Dans la galerie des femmes / je marche à pas de louve tarie ». La violence des soins est décrite comme le châtiment, la censure de toute plainte : « On m’arrache encore la chasuble / on me pousse dans l’eau / qui apprend à se taire ». Dans les travaux collectifs, le corps s’abandonne, s’épuise, se dissout : « Les jours de lessive / mon corps s’égoutte / pendant des heures », jusqu’à « disparaître dans l’eau sale ». L’organisation de l’asile est sélective : « on m’a classée dans les calmes ». Mais tout ici mène à la déshumanisation, à la perte de toute estime de soi : « on ne pense plus / on prie / on s’enguenille ».

            Enfin, la perte de l’enfant est aussi vécue comme l’échec du couple : « L’homme d’avant / d’avant la mort / je ne l’ai pas fait père / je l’ai fait taire ». Jusqu’à l’autodestruction charnelle et affective : « je me suis fait terre ». Ce texte sobrement lyrique culmine sur la très belle image végétale de « la renouée aux oiseaux » qui, comme l’ensemble du recueil, transcende le deuil intime par le poème…

Paola PIGANI : La renouée aux oiseaux

(Éditions La boucherie littéraire, collection La feuille et le fusil, 20 €)

                                                                                                                      Michel MÉNACHÉ

 

Un grand merci à Michel Ménaché!

 

10 juin 2020

La renouée aux oiseaux mise en voix

la renouée aux oiseaux, la boucherie litteraire éditions, guillaume Richez, les imposteurs

 

La surprise du jour, une belle lecture d'un extrait de La renouée aux oiseaux:

 

 

https://chroniquesdesimposteurs.wordpress.com/2020/06/10/...

 

 

Un grand Merci à Gullaume Richez!

18 mai 2020

En magasin

thumbnail (1).jpg

 

Sur la vitrine d'une épicerie italienne à Clermont Ferrand,à l'initiative de l'association La semaine de la poésie.

Merci à leur équipe formidable  qui a continué à partager sur leur site et vitrines  les textes des poètes invités suite à l'annulation des rencontres .